Science Corporation, une entreprise concurrente de Neuralink, a acquis un implant rétinien en phase de test avancé, permettant à certains patients de retrouver une forme de vision artificielle. Cet implant, placé sous la rétine, utilise des signaux d'une caméra montée sur des lunettes pour émettre des impulsions électriques, contournant ainsi les cellules photoréceptrices endommagées par la dégénérescence maculaire, principale cause de perte de vision chez les personnes âgées. Selon un rapport publié dans le New England Journal of Medicine, certains patients peuvent désormais lire du texte et faire des mots croisés grâce à cette technologie. Cette avancée représente une lueur d'espoir pour les personnes souffrant de troubles visuels liés à l'âge, bien que des défis subsistent pour améliorer la résolution et l'accessibilité de l'implant. Par ailleurs, un projet artistique s'intéresse à l'impact du changement climatique sur les fleurs, explorant comment leur forme et leur pigmentation pourraient évoluer en réponse aux variations environnementales. Les fleurs, en tant qu'indicateurs visuels du climat, pourraient subir des modifications significatives, telles qu'un changement de pigmentation en période de sécheresse ou une croissance accrue en cas de réchauffement. Ce projet vise à sensibiliser le public aux effets subtils mais profonds du changement climatique sur la nature. En parallèle, Redwood Materials, une entreprise spécialisée dans le recyclage des batteries de véhicules électriques, étend ses activités en intégrant des batteries usagées dans des microgrids pour alimenter des centres de données énergivores dédiés à l'intelligence artificielle. Cette initiative s'inscrit dans une démarche de durabilité et de réutilisation des ressources, contribuant ainsi à réduire l'empreinte environnementale des technologies émergentes.